Une soixantaine de femmes venant en majorité des pays du G5 Sahel ont validé le programme de résilience économique des filles et des femmes du sahel. A cette rencontre on notait aussi la présence des agences onusiennes comme : ONU femmes, FAO ET PAM.
Ce programme qui était à l’ordre du jour dans la capitale nigérienne intègre le plier trois ; de la stratégie des nations unies pour le sahel ; et le programme d’investissement prioritaire (PIP).
Le PIP est conçu par le G5 Sahel doit connaitre une révision pour le rendre plus efficace et étendu à plusieurs objectifs : pour répondre aux préoccupations des populations plus vulnérables (femmes et filles). Ces populations sont souvent abandonnées, elles vivent dans des zones transfrontalières, et bénéficient rarement des interventions en matière de développement. Le programme est porté par ONU Femmes en partenariat avec la FAO, le PAM et le FIDA. Le coût global de la première phase qui couvre la période 2016-2017 est de 25 205 705 USD et concerne les 5 pays du G5 Sahel. La seconde phase d’un coût de 26 millions USD pour la période 2018-2020 va s’étendre au nord Cameroun et au Sénégal. Les principaux résultats attendus du programme sont :
- l’accès des femmes aux facteurs de production adaptés à leur environnement;
- l’accès accru des femmes rurales aux opportunités de financement plus résilient pour sécuriser leurs revenus;
- les capacités des institutions nationales, régionales et humanitaires sont renforcées pour une meilleure intégration du Genre dans les réponses de gestion des catastrophes
Au terme des travaux les participants ont apporté des améliorations au contenu du programme surtout les données socio-économique des pays les zones d’intervention du programme. Le G5 Sahel a pris une part active à la rencontre de Niamey.